L’assassinat, en décembre 1998, de deux écrivains iraniens à Téhéran accrédite l’idée que des hommes de plume figurent bel et bien sur une « liste noire ». Les tueurs, qui appartiennent au ministère des renseignements, auraient agi de leur propre initiative. Mais nul ne croit à cette version officielle

LeMond
19 February 1999